Présidentielle 2021

« L’impunité, l’ennemi public numéro 1 » de Denis Sassou Nguesso s’il est réélu 

Albert Tengo, porte-parole de Denis Sassou Nguesso sur les questions de réformes institutionnelles et de gouvernance a déclaré que « l’impunité sera l’ennemi public numéro 1 » de son candidat, s’il est réélu au soir du 21 mars. 

Le porte-parole du candidat Denis Sassou Nguesso sur les questions de réformes institutionnelles et de gouvernance, Albert Tengo a tenu une conférence de presse, ce jeudi 18 mars à Pointe-Noire dans le cadre de la campagne électorale de son candidat.

En présence des journalistes de la place, le représentant du président sortant a dégagé les réformes institutionnelles et de gouvernance inscrites dans le projet de société de son candidat intitulé : « Ensemble, poursuivons la marche ».

L’homme a épinglé la lutte contre les antivaleurs dont la lutte contre l’impunité sera un des piliers importants sur lequel Denis Sassou Nguesso entend s’appuyer pour le développement du pays, s’il remporte la présidentielle. 

Selon, Albert Tengo, c’est une priorité déjà inscrite dans son précédent mandat (2016-2021), que Denis Sassou Nguesso veut cette fois-ci « intensifier ». Il compte s’appuyer sur deux axes à savoir : la prévention et la répression afin de combattre l’impunité.  

« L’impunité, il le dit, il l’a déjà dit que cette fois-ci, c’est catégorique. L’impunité sera particulièrement déclarée ennemi public numéro 1. Les sanctions administratives, judiciaires deviendront la règle. Tout est en place pour cela. », a assuré Albert Tengo.  

Le président candidat compte aussi sur la modernisation de la justice en cours et sur les organes de contrôle existant comme la Haute autorité de lutte contre la corruption, pour permettre à chaque concitoyen malgré son rang social d’être sanctionné. 

Chaque instance en ce qui le concerne sera appelée à faire son travail dans les normes faute de quoi des sanctions seront prises à son encontre, a rencheri Albert Tengo.

« Plus rien ne devrait justifier l’absence de sanctions. Dans tous les cas les organes dédiés à cette mission seront périodiquement évalués et disqualifiés le cas échéant lorsqu’ils n’auront pas à accomplir leur mission. », a-t-il précisé. 

Dans son allocution, Albert Tengo a souligné que Denis Sassou Nguesso veut placer « l’homme congolais » « formé » et « compétent » au centre de son projet pour la réforme institutionnelle, la gestion des affaires publiques et la lutte contre la corruption pour le développement national.

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