Le ministère des Affaires sociales et de l’action humanitaire, et l’association internationale Enfant Avenir de Demain (EAD) ont échangé sur les possibilités de mettre en œuvre un projet portant sur la prise en charge des patients en situation de vulnérabilité sociale.
La présidente fondatrice de l’association internationale Enfant Avenir de Demain (EAD), Mireille Amona s’est entretenue avec la ministre des Affaires sociales et de l’action humanitaire, Irène Mboukou-Kimbatsa.
Les deux personnalités ont évoqué les possibilités d’un partenariat entre le gouvernement congolais et l’EAD dans le secteur du social avec à la clé la prise en charge sanitaire des personnes vulnérables.
Selon Mireille Amona, ce projet consistera à organiser des « ateliers d’éducation thérapeutique pour essayer comment mettre le patient au centre de sa maladie tout en soutenant les familles en difficulté. »
La présidente fondatrice de l’EAD s’est voulue rassurante sur la mise en œuvre dudit projet.
« Le gouvernement est disponible. Madame la ministre l’a redit, le gouvernement est disponible à mettre en place des dispositifs pour que ce projet aboutisse », a-t-elle déclaré.
Ce projet concernera tous les hôpitaux. Sa mise en œuvre se fera par étape. Il sera lancé dans un premier temps au Centre hospitalier universitaire de Brazzaville (Chu) avant de s’étendre dans d’autres formations sanitaires, a indiqué Mireille Amona.
Enfant Avenir de Demain (EAD), est une association internationale humanitaire d’aide à l’enfance en difficulté et démunie. Elle œuvre dans plusieurs domaines tels que la santé, l’éducation et la pauvreté.
