Economie

Le gouvernement auditionné sur des accords de prêts entre le Congo et la Banque Mondiale 

Trois membres du gouvernement ont été auditionnés par la Commission économie et finances de l’Assemblée Nationale ce lundi 18 juillet. Ladite audition portait sur les accords de prêts de financement entre le Congo et les bailleurs de fonds. 

La Commission économie et finances de l’Assemblée Nationale a eu une séance de travail, ce début de semaine, avec les ministres de l’Economie numérique, Leon Juste Ibombo ; des Affaires sociales, Irène Cecile Mboukou kimbatsa et Roger Rigobert Andely en charge des Finances. 

Dirigée par Maurice Mavoungou, président de la Commission économie et finances de l’Assemblée Nationale, cette rencontre a permis d’auditionner les membres du gouvernement sur plusieurs accords passés entre le Congo et les bailleurs de fonds. 

Les discussions ont porté sur le projet d’accélération numérique financé par la Banque Mondiale à hauteur de 100 millions de dollars américains visant à réduire la fracture numérique et la digitalisation de l’économie nationale. 

Autre aspect évoqué lors de cette rencontre concerne l’accord de financement additionnel du projet de réponse d’urgence au Covid-19 Lisungi.

Il s’agit d’un investissement de 50 millions de dollars américains de l’Association Internationale de Développement (IDA), une institution de la Banque mondiale, en faveur de notre pays pour un élargissement de l’accès des ménages vulnérables aux filets de sécurité adaptés à l’impact de la pandémie Covid-19. 

♦Lire aussi : Covid-19 : L’IDA promet 50 millions de $ en faveur de la République du Congo

Pour sa part, le ministre en charge des Finances a défendu deux accords de coopération,  celui liant le Congo et le Rwanda et l’accord entre Brazzaville et Ankara.

Roger Rigobert Andely est revenu aussi sur le niveau d’endettement de la République du Congo et des négociations avec différentes traders.

Il en ressort notamment que le niveau de la dette congolaise a baissé passant de 110% du PIB en 2020 à une estimation de 94% en 2021 d’une part; d’autre part, notre pays a réussi à conclure de nouveaux accords avec les traders « pour que la dette ne nous étouffe pas totalement », atil dit.  

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