Economie

Un plan d’action national pour la sécurité sanitaire des aliments

Le ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo, a procédé au lancement de l’atelier de validation du Plan d’action national de la sécurité sanitaire des aliments ce 30 juillet à Brazzaville.

Garantir la qualité des aliments produits par les exploitants agricoles et les opérateurs de l’agroalimentaire, assurer la traçabilité des produits agricoles et aboutir à la normalisation et la labellisation des productions congolaises tels sont, entre autres, les objectifs visés par l’atelier qui a rassemblé plusieurs acteurs de la sécurité alimentaire cette fin de semaine.

Présidé par le ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et de la Pêche, Paul Valentin Ngobo, l’atelier de validation du Plan d’action national de la sécurité sanitaire des aliments a réuni le gouvernement congolais, plusieurs experts et partenaires techniques parmi lesquels des agences du système des Nations Unies compétentes sur les questions de santé et d’alimentation. 

Grâce à leurs mandats complémentaires, la FAO et l’OMS traitent diverses questions en vue de contribuer à la sécurité sanitaire des aliments à l’échelle mondiale et de protéger la santé des consommateurs d’une manière générale. L’OMS supervise le secteur de la santé publique, la FAO s’occupe des questions de sécurité sanitaire des aliments tout au long de la chaîne de production alimentaire”, a indiqué à l’ouverture de l’atelier Yannick Ariane Rasoarimanana représentante de la FAO au Congo.

La mise en œuvre de ce plan permettra aux acteurs de l’agroalimentaire de développer leurs activités et d’optimiser leurs échanges commerciaux, a assuré le ministre.

À long terme, le Congo devrait pouvoir s’arrimer aux standards internationaux en matière de sécurité des aliments et ainsi « renforcer sa présence sur le marché international derrière la crédibilisation de l’origine Congo”, a-t-il ajouté.

Le dispositif devrait être implémenté de manière progressive, grâce au soutien financier de la Banque mondiale à travers le Projet d’appui au développement d’agriculture commerciale (PADAC). 

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