Les sénateurs sensibilisés en matière de non-prolifération des armes nucléaires par les experts de l’Afcone et de l’AIEA
Une délégation conjointe Commission africaine de l’énergie nucléaire (Afcone)-Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), a été reçue en audience par le président du Sénat, Pierre Ngolo le 2 juillet à Brazzaville.
Les enjeux liés à la non-prolifération des armes nucléaires est l’un des sujets qui a animé les discussion entre le président du Sénat, Pierre Ngolo et la délégation conjointe Commission africaine de l’énergie nucléaire (Afcone)-Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) conduite par Gaspard Liyoko Mboyo, président de l’Afcone.
« Nous sommes venus sensibiliser le Parlement en matière de non-prolifération des armes nucléaires dans le cadre juridique international et sur la législation nucléaire, les applications nucléaires à usage pacifique », a signifié Gaspard Liyoko Mboyo.
Le but a-t-il expliqué est, d’une part, de toucher ces applications qui se font en République du Congo, et, d’autre part, de voir les mesures à prendre pour permettre qu’il y ait sûreté, sécurité et garantie pour ces activités.
Le Parlement a un rôle à jouer dans le cadre de la ratification des instruments juridiques internationaux.« Le Congo ayant adhéré aux instruments internationaux, c’est le Sénat qui est en premier sinon le Parlement à ratifier ces textes et autres. Le Sénat naturellement, selon les responsabilités, les engagements du pays aux instruments juridiques internationaux, doit répondre à ces obligations en matière de non-prolifération et la sécurité nucléaire », a indiqué le président de l’Afcone.
Une délégation conjointe Commission africaine de l’énergie nucléaire (Afcone)-Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), a été reçue en audience par le président du Sénat, Pierre Ngolo le 2 juillet à Brazzaville.
Les enjeux liés à la non-prolifération des armes nucléaires est l’un des sujets qui a animé les discussion entre le président du Sénat, Pierre Ngolo et la délégation conjointe Commission africaine de l’énergie nucléaire (Afcone)-Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) conduite par Gaspard Liyoko Mboyo, président de l’Afcone.
« Nous sommes venus sensibiliser le Parlement en matière de non-prolifération des armes nucléaires dans le cadre juridique international et sur la législation nucléaire, les applications nucléaires à usage pacifique », a signifié Gaspard Liyoko Mboyo.
Le but a-t-il expliqué est, d’une part, de toucher ces applications qui se font en République du Congo, et, d’autre part, de voir les mesures à prendre pour permettre qu’il y ait sûreté, sécurité et garantie pour ces activités.
Le Congo ayant adhéré aux instruments internationaux, c’est le Sénat qui est en premier sinon le Parlement à ratifier ces textes et autres. Le Sénat naturellement, selon les responsabilités, les engagements du pays aux instruments juridiques internationaux, doit répondre à ces obligations en matière de non-prolifération et la sécurité nucléaire.