Société

Edith Emmanuel optimiste pour la livraison “très prochainement” de l’amphi de la Fac des lettres 

La ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Delphine Edith Emmanuel s’est montrée optimiste pour l’opérationnalisation de l’amphithéâtre de la Faculté des lettres arts et sciences humaines (Flash) de l’Université Marien Ngouabi (UMNG).  

La ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation technologique, Delphine Edith Emmanuel a visité l’un des établissements de l’Université Marien Ngouabi (UMNG), en chantier ce mercredi 12 avril à Brazzaville. 

La ministre est venue s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de construction de l’amphithéâtre Jean-Baptiste Taty Loutard construite en faveur de la Faculté des lettres, arts et sciences humaines (Flash). Une visite qui s’est soldée par une note positive.

« Le chantier est bien avancé à l’intérieur… En réalité, l’essentiel est fait. Ce qui reste est tout à fait insignifiant. Je peux donc avec certitude dire que très prochainement les étudiants de la faculté des lettres pourront venir étudier dans cet amphithéâtre », a-t-elle déclaré. 

Selon la ministre « il reste l’extérieur à aménager, à viabiliser. Il y a un problème concernant la voie d’accès des étudiants. Je suggère qu’on puisse avoir une voie d’accès latérale pour que les étudiants puissent aller et venir dans de bonnes conditions »

♦Lire aussi : Le MEEC va décréter une grève générale à partir du 1er septembre 2022

Cette infrastructure dotée d’une capacité d’environ 1600 places vise à résoudre la problématique des effectifs pléthoriques au sein de la Flash.

« Avec l’augmentation des effectifs à la Faculté des lettres, arts et sciences humaines, il y a un problème d’espace qui se pose. Donc aujourd’hui, nous nous réjouissons de la reprise des travaux de cet amphithéâtre qui sont très avancés pour accueillir les étudiants très prochainement », souligne Delphine Edith Emmanuel.

Le Mouvement des élèves et étudiants du Congo (MEEC) avait rendu publique une déclaration le 1er août dernier dans laquelle il menaçait de décréter une grève générale à partir du 1er septembre prochain.

Au nombre de préoccupations figuraient notamment un manque d’appareils de sonorisation dans les amphithéâtres 1 et 2 à la Flash.

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