“Les administrations douanières doivent accroître leur visibilité”
En 2023, la douane congolaise entend réformer son administration pour améliorer ses performances a laissé entendre le directeur général des douanes et des droits indirects, Guénolé Mbongo Koumou, lors de la célébration de la Journée internationale de la douane le 26 janvier à Brazzaville.
Dans le souci de renouer le dialogue public-privé en République du Congo, la direction générale des douanes et des droits indirects a mis en place un comité consultatif afin de se rapprocher davantage des opérateurs économiques.
« En cette année 2023 la douane entend réformer son administration à travers un plan d’action opérationnel, qui contribuera à l’amélioration du cadre de gouvernance de cette institution publique », a indiqué le directeur général des douanes et des droits indirects, Guénolé Mbongo Koumou.
Ce cadre de concertation visant un renforcement des relations entre la douane congolaise et le secteur privé est pour les parties prenantes un pas vers une économie nationale productive.
« Les administrations douanières doivent accroître leur visibilité, non seulement auprès de leurs partenaires naturels que sont les opérateurs économiques, mais aussi auprès de ceux qui sont moins familiers avec ses multiples missions et moins conscients des défis qu’elle doit relever et des contraintes qu’elle doit gérer », a poursuivi Guénolé Mbongo Koumou.
La formation de nouveaux cadres, le renforcement des capacités des douaniers et la collaboration intergénérationnelle par le partage des expériences entre les anciens et les fonctionnaires qui entrent en fonction entrent en ligne de compte pour l’amélioration des performances douanières.
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