Une rencontre à propos de l’affaire Chloé Bafouidi Nsoni a réuni, lundi 1er juin la ministre de la Santé, les directeurs des hôpitaux de Brazzaville et les responsables du Comité technique de riposte afin de faire la lumière sur le drame de la clinique Albert Leyono.
Depuis plusieurs jours déjà le décès de la jeune femme de 29 ans en état de gestation survenu à la clinique municipale Leyono le 29 mai suscite l’indignation d’une frange de l’opinion au vue des conditions de sa mort tragique.
La ministre de la Santé s’est entretenue avec les directeurs des hôpitaux de Brazzaville, les responsables du Comité technique de riposte ainsi que les présidents des commissions Covid-19 afin d’élucider les faits marquants la survenance de cet événement.
Il s’agissait au cours de cette réunion d’examiner la situation pour établir les causes du décès de la jeune fille et de définir les responsabilités.
La ministre de la Santé a promis s’assurer du bon déroulement de l’enquête administrative ouverte après l’incident afin d’apporter des mesures correctives et d’éviter que ce genre d’incident ne se reproduise.
« Le gouvernement a pris toutes les dispositions pour que la famille soit accompagnée dans ce drame » a signifié Jacqueline Lydia Mikolo.
Un délai d’une semaine a été pris pour une nouvelle rencontre afin de faire le point de l’évolution de l’enquête et annoncer les mesures entérinées.