Ce mardi 11 juillet, l’Union des démocrates humanistes (UDH-Yuki), parti d’opposition politique, va désigner son nouveau président, plus de 2 ans après le décès de son président fondateur, Guy Brice Parfait Kolélas.
Il s’est ouvert ce lundi 10 juillet les travaux du congrès extraordinaire de l’Union des démocrates humanistes (UDH-Yuki), à Brazzaville, sur le thème : « Dans l’unité et la cohésion, l’UDH-Yuki en marche. »
Ces travaux seront clôturés ce mardi 11 juillet avec à la clé la désignation d’un nouveau président du parti.
Ils sont au total six candidats, à savoir : Joseph Badiabio, Fernand Gilles Bassindikila, Oleg Fabrice Kiessila, Bonnard Moussodia, Rodrigue Mayanda et Jean Jacques Nicolas Malonga.
Ils vont tous s’affronter dans les urnes pour connaître le successeur de Guy Brice Parfait Kolélas, décédé le lendemain de la présidentielle du 21 mars 2021.
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Ouvrant les travaux de ce congrès, le premier vice-président de l’UDH-Yuki, Pascal Ngouanou, a invité les 748 congressistes à prioriser l’intérêt général du parti au détriment des intérêts personnels.
« Nous devons rénover notre parti, nous donner de nouveaux dirigeants. Nous avons le devoir de fructifier, de consolider et de développer ce parti. Faisons de l’UDH-Yuki non pas un fonds de commerce, mais un instrument de lutte au service du peuple congolais », a-t-il appelé.
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L’organisation de ce congrès national est l’un des moyens de résoudre la crise qui perdure au sein de cette formation politique depuis le décès de son président fondateur.
Une crise qui serait selon certains cadres de ce parti de l’opposition née au bureau politique et de la lecture différente des textes du parti, faite par les uns et les autres après le décès de Guy-Brice Parfait Kolélas.
